Le Sud-Ouest et son passé colonial, une plaie ouverte
Vendredi 9 juillet | 11h-12h | La Cale
Avec les camps de Bias et de Sainte-Livrade, le Lot-et-Garonne a été marqué par les blessures coloniales des descendants de harkis et de rapatriés d’Indochine.
Par Esther Degbé (HuffPost) et Rahma Adjadj (diplômée de l’Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine)
Avec Sandrine Lacombe, archiviste et cofondatrice de la revue Ancrage, Katia Khemache, enseignante et autrice d’une thèse sur les harkis du Lot-et-Garonne, Christine Le Hesran, rédactrice en chef à France 3 Nouvelle Aquitaine
Peut-on refermer la blessure coloniale?
Des « camps décoloniaux » à la question de la restitution des œuvres d’art, de la mémoire, de l’esclavage au déboulonnage des statuts, la colonisation imprègne encore le regard que nous portons sur l’actualité. Comment parler de cette période sans se flageller ? Finira-t-on par enterrer la « Françafrique » ? Et comment faire le récit de ce « passé qui ne passe pas » ? En interrogeant des historiens, des journalistes, des linguistes, des artistes, essayons de comprendre s’il est possible de refermer une blessure toujours béante.
Par Esther DEGBE (HuffPost) et François REYNAERT (L’Obs)
avec Rahma ADJADJ, diplômée de l’Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine
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